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Théâtre "L'amour en toutes lettres"

Sougy-sur-Loire 58300

Du /00/1e16 au //099

Spectacle délocalisé de La Maison (de la Culture) avec Le Théâtre de l'Échappée Belle Mise en scène : Enrico Clarelli Interprétation : Ludovic Beyt, Martine Costes-Souyris et Hélène Dedryvère Adaptation théâtrale d’après l’ouvrage de l’historienne Martine Sévegrand ""L'amour en toutes lettres" est un récit sur les tourments de la sexualité des français au début du siècle dernier. Entre 1924 et 1943, des femmes et des hommes, fervents catholiques, ont écrit à l’abbé Viollet pour lui livrer leurs questions, leurs difficultés, et finalement... leur vie sexuelle. Aussi improbable que cela puisse paraître, il fut consulté pour avis et conseil par des catholiques de tous horizons et devint ainsi un grand spécialiste de la morale conjugale. Afin de s’immerger dans le contexte historique, les trois comédiens invitent le public à s’asseoir autour de tables où figurent des livres d’époque, recréant ainsi l’ambiance d’une réunion d’association de familles chrétiennes au début du 20ème siècle. À l’heure où résonnent des manifestations d’opinions controversées et où la sexualité se voile de certitudes ou de convictions martelées par l’extrême, les acteurs vous invitent à entendre[...]

photo Exposition des instants marseillais

Exposition des instants marseillais

Peinture

Marseille 13000

Du 14/04/2025 au 26/04/2025

« Des instants marseillais » de Florentin Laleque Comment capturer le banal de la vie quotidienne perdu dans le tumulte ? Comment rendre unique et précieux des moments qui ne se reproduiront jamais totalement à l’identique ? Dans la vie, tant d'évènements indépendants, des rencontres, des mélanges, des ambiances se superposent. Florentin Laleque flâne dans la rue, le métro, les boutiques, les manifestations et les soirées. Dans cette quête, partant de la photographie mécanique qui saisit et fige froidement l’espace-temps, le travail des yeux et de la main, malgré eux, donc heureusement gauche et subjectif, retrace une dilatation du temps sur le papier. La besogne du dessin prend le temps de circuler, d’appuyer ou d’oublier en tendant vers l’émotion de reconnaitre, d’habiller et de raconter à sa façon. Comme le remarque naïvement l’artiste, « l’aquarelle souligne des textures, des taches, des aspérités, les imperfections », pourtant finalement, c’est bien cela qui forme la saveur des instants, des lieux, des présences ou des absences. De la patience d’aller par les détails vers un tout, Florentin Laleque tente d’emprunter le chemin. Souhaitons-lui encore[...]